La sélection des meilleures tablettes pour 2013 !

La sélection des meilleures tablettes tactiles pour 2013 est claire : 5 tablettes se détachent du lot. Apple est nettement au-dessus avec son iPad 4 qui atteint la perfection, mais les machines équipées d’Android ou Windows n’ont pas à rougir. Au-delà de ces 5 tablettes, pas grand-chose. Au format 7 pouces, malgré la venue de la Kindle HD, l’iPad Mini est la référence du genre. Voici un petit tour d’horizon des meilleures tablettes pour vous permettre de faire votre choix avant de passer à l’achat.

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N°6 : La Samsung Galaxy Tab 2 10.1, une tablette déjà dépassée

La Samsung Galaxy Tab 2 10.1 est la tablette 10 pouces de référence de la gamme Samsung. Si elle reste la principale rivale d’Apple, ses caractéristiques s’avèrent plutôt décevantes.

Côté ergonomie et design, on reprend la Galaxy Tab 1 et on recommence. Pas de grand changement de ce côté-là. Les hauts parleurs sont sur le dessous, à droite et à gauche du connecteur propriétaire Samsung, les boutons de volume et d’allumage sont sur le bord droit et sur le coté gauche, il y a un slot micro SD, sans oublier la prise Jack sur le dessus et l’APN en face avant et arrière.

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En ce qui concerne l’écran, c’est faible : on atteint 149 ppp et 51° de densité angulaire et du 1280×800 pixels. C’est mieux que l’iPad 2, mais nettement moins bien que ce qui est commercialisé aujourd’hui chez Apple et les autres constructeurs. Vous mettez un iPad 4 à côté de la Samsung Galaxy Tab 2, il n’y a pas photo : Apple a une grande longueur d’avance. Il faudra porter assez loin pour atteindre un niveau de netteté qui ne permet plus de distinguer les pixels. Le Full HD est totalement absent, c’est rédhibitoire à ce niveau !

L’appareil photo est lui resté le même, avec un objectif de 3 Mpx à l’avant alors que la concurrence fait au moins 5 Mpx. Côté HD, cette Galaxy Tab 2 ne va pas au-delà de 720p. La tablette de Samsung est donc déjà dépassée…

A l’avant, la caméra de 2 Mpx a été remplacée par une caméra de 0,3 Mpx sur la V2 de cette tablette : c’est incompréhensible !

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Pour les jeux vidéo, c’est là aussi problématique : si les jeux 2D tournent très bien, la 3D provoque des ralentissements. Cela s’explique par le fait que la tablette n’est pas équipée en Tegra 3.

L’autonomie est bonne, entre 9h et 10h d’utilisation grâce à sa batterie de 7000 mAh.

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Le bilan : je ne vais pas m’attarder plus longtemps car le test démontre clairement que cette tablette reste intéressante pour une utilisation standard, mais qu’elle est nettement dépassée par la concurrence.

Note : 4/10

N°5 : Surface de Microsoft, une tablette qui nous laisse sur notre faim

Microsoft a lancé Surface en octobre 2012. Il était temps ! Microsoft a pris du retard et cela se voit : la Surface est alléchante, intéressante, mais imparfaite.

L’atout indéniable de cette tablette : son pied amovible au dos et la housse-clavier. C’est fonctionnel et esthétique ! Bravo ! En plus, les matériaux sont de qualité avec un joli métal noir.

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L’écran est un 10,6 pouces de type 16:9. Cela va à contre-courant que le format adopté par Apple, le 4:3, un pari risqué car l’ergonomie n’est pas toujours au rendez-vous avec du 16:9 sur tablette. La définition est de 1366 x 768 pixels. Il y a mieux, mais l’écran nous éblouit pourtant pas ses contrastes.

Côté connectique, la Surface est complète : un port USB 2.0, une sortie vidéo HD et un port micro SDXC, caché sous la béquille, qui permet de doubler la taille de stockage de la tablette.

Microsoft a eu l’intelligence d’intégrer nativement Office 2013. C’est un vrai avantage pour une utilisation bureautique complète et directement intégrée. Par contre, on sent que le processeur, une puce Nvidia Tegra 3, mouline : ça rame parfois. C’est un point noir qui laisse à penser que la Surface sera limitée à l’usage d’ici 2/3 ans.

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L’autre gros bémol est le prix. Face à la concurrence, cela risque de ne pas pardonner : la Touch Cover (clavier physique extrafin mais tactile) coûte 120 euros et alternativement, la Type Cover (clavier avec de véritables touches qui s’enfoncent) est proposé à 130 euros.

Le point rédhibitoire de cette tablette est son système d’exploitation : Windows RT. C’est une version légèrement différente de Windows 8 en cela qu’elle n’est pas compatible avec les programmes Windows habituels. C’est vraiment d’avoir un système Windows dans lequel on ne peut pas tout faire. Du coup, si vous optez pour du Windows plutôt que de l’iOS ou de l’Android, attendez les tablettes à venir qui prendront en charge Windows 8 en version intégrale. Ceci se justifie d’autant plus qu’il y a actuellement un manque cruel d’applications sur le Windows Store : seulement 500 sont disponibles en Français à l’heure actuelle. Concrètement, c’est trop peu.

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Le bilan : On sent que Microsoft tient là un bel objet, mais cela reste insuffisant pour passer à la caisse car Windows RT n’est pas satisfaisant par rapport à un vrai Windows 8. On repassera pour les prochaines versions.

Note : 6/10.

N°4 : Samsung Galaxy Note 10.1, une expérience intéressante, mais une tablette pas aboutie

Le principe de la Galaxy Note 10.1 est simple : concilier un produit sous Android et un stylet conçu par le spécialiste Wacom. Cette tablette est un outil très pratique pour les créatifs, mais moins intéressant pour le grand public.

Côté ergonomie, avec ses 600 grammes, la prise en main n’est pas aisée s’il l’on veut utiliser un stylet. Il faut impérativement poser la tablette, mais du coup, on aurait aimé la présence d’une béquille ou d’une cale sur le haut du dos de l’appareil comme la Surface de Microsoft. Ça commence mal…

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Côté finition, c’est très moyen : à l’heure de l’aluminium, Samsung privilégie le plastique. C’est une faute de goût périlleuse.

L’écran est doté de la technologie PLS et d’une définition de 1280 x 800 pixels. Cela reste insuffisant par rapport à ce que font les meilleures tablettes concurrentes. Nous sommes loin des contraste de plus de 1000:1 que peut offrir la Transformer Pad Infinity TF700 de Asus ou du Rétina qui affiche des performances extraordinaires, mais cette Note 10.1 peut tout de même compter sur un rendu fidèle des tons gris et du noir, ainsi que sur une luminosité maximale de 364 cd/m². C’es homogène et agréable à l’œil. En revanche, le petit bémol se situe dans le rendu des couleurs très moyens. En plus de cela, la densité de pixels de 149 points par pouces est bien trop légères par rapport aux tablettes haut de gamme du moment qui disposent de densités de 263 ppp, 224 ppp ou même 298 ppp.

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Le processeur quadri-cœur Exynos cadencé à 1,4 GHz est accompagné d’un mémoire vive de 2 Go. La capacité de stockage est de 16 ou 32 Go et peut être étendue à un maximum de 64 Go par une carte micro SD via un slot micro SD. On compte également un port propriétaire pour le transfert de données et la recharge ainsi qu’une sortie casque Jack 3,5 mm.

Les hauts parleurs sont situés en façade, c’est plutôt judicieux car cela permet de ne jamais obstruer la sortie sonore avec ses mains.

Concernant la réactivité, la tablette se montre fluide, même lorsque le lecteur vidéo tourne avec un fichier HD et que l’on saisit du texte au stylet en mode reconnaissance d’écriture en face.

La Galaxy Note 10.1 fonctionne sous Android 4.0.4 Ice Cream Sandwich avec l’interface TouchWiz, qui comprend ici des services et applications exclusives, dont certaines adaptées pour l’usage au stylet. Il y a enfin la gestion d’un vrai multitâche avec la possibilité de gérer 4 tâches en simultané.

Pour ce qui est de la navigation web, elle est agréable : l’affichage des pages est rapide et le scrolling vertical ne provoque pas de ralentissements. La lisibilité est meilleure en mode paysage qu’en mode portrait et c’est bien ici que la définition de 1280 x 800 pixels est une fois de plus rédhibitoire. En mode portrait, le texte se fait moins ciselé et précis, mais le zoom agit avec précision et fluidité.

Côté jeu vidéo, le processeur Exynos et son acolyte GPU Mali 400 MP4 assurent un haut niveau de rendement. Aucun ralentissement n’a été constaté, même sur les jeux les plus gourmands.

En ce qui concerne l’autonomie, Samsung intègre une batterie de 7000 mAh qui permet plus de 9h30 d’autonomie. Quant à la recharge via secteur, elle oscille entre 3h30 et 4h pour un cycle complet.

La tablette Samsung Galaxy Note 10.1 est commercialisée en version 16 Go au tarif indicatif de 449 euros.

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Le bilan : si l’expérience est intéressante, la Galaxy Note 10.1 n’atteint pas le niveau de ses concurrentes haut de gamme. C’est une belle tablette, avec de bonnes fonctionnalités, mais qui souffre encore de faiblesses que n’ont pas l’iPad ou l’Asus Transformer Pad TF700T.

Note : 6/10.

 

N°3 : Asus Transformer Pad Infinity TF700T, le bulldozer Asus !

L’Asus Transformer Pad Infinity, le TF700T, est le dernier modèle de tablette du constructeur Asus sous Android. Cette tablette a tout d’une grande : un processeur NVIDIA Tegra 3 quadruple coeur, un écran 10,1 pouces Full HD 1920 x 1200 pixels et une station d’accueil avec clavier pour ceux qui ont peur du tactile.

En mode normal, la luminosité est de 400 cd/m² : c’est convenable pour l’intérieur, mais insuffisant en extérieur. Pour l’extérieur, il y a la possibilité de régler sa tablette en mode Super IPS+ jusqu’à 620 cd/m².

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La résolution Full HD de 1920 x 1200 pixels est le point fort de l’Asus Transformer Pad Infinity TF700T. Si la qualité est en deça de l’écran Rétina d’Apple (2048×1536 pixels), cela ne gêne pas car l’écran est vraiment confortable à la lecture : c’est net, détaillé, très précis, que ce soit pour la navigation web, la vidéo, l’image ou les jeux. Désormais, la balle est dans le camp de Google pour mettre en place un Android avec des lettres et icones plus lisses.

La finition aluminium est également très correcte.

La station d’accueil batterie/clavier/touchpad est un atout supplémentaire pour faire de cette tablette un outil polyvalent qui permet d’augmenter l’autonomie, un port USB 2.0 (HOST) et un lecteur de cartes SD/SDHC.

Grâce au Tegra 3, la tablette bénéficie d’une offre de jeux vidéo de plus en plus conséquente. NVIDIA a réussi à créer un petit éco-système « Tegra Zone » entrainant de nombreux éditeurs à jouer le jeu de l’optimisation graphique. La plateforme technique Nvidia Tegra 3 permet à cette tablette d’être véritablement polyvalente car suffisamment puissante pour faire tourner applications, vidéo, jeux, web.

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L’autonomie est de 8 heures contre 10 heures pour les meilleures tablettes concurrentes. La HD consomme et cela se voit. Asus a préféré réduire l’autonomie plutôt que de faire une tablette plus grosse et plus lourde qui aurait dû supporter une batterie plus conséquente. Néanmoins, la firme a été astucieuse en intégrant dans son clavier une autre batterie qui augmente considérablement l’autonomie. Comptez 6h00 de plus en navigation Internet ou en lecture vidéo.

Pour la partie photo/vidéo, le capteur 8 millions de pixels réalise des clichés honorables pour ce type de machine et de belles vidéos Full HD en 1 920 x 1 080 pixels. Une caméra de 2 mégapixels, installée en façade permet l’accès à la vidéoconférence avec des logiciels tels que Skype.

Comptez 600 euros pour le modèle 64 Go avec sa station d’accueil.

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Le bilan : cette tablette a tout d’une grande et c’est une grande ! Avec cette machine, Asus se positionne en principal challenger de Samsung et Apple. Pour ceux qui n’aiment pas Android, vous aurez la possibilité d’avoir un Asus sous Windows 8 dans les prochaines semaines et là, il y aura vraiment une valeur ajoutée à cette tablette ! Par contre, attention au prix qui risquera d’être élevé…

Note : 7/10

N°2 : iPad Mini, la plus belle des tablettes 7 pouces !

Sur tablette, je ne milite pas en faveur du format 7 pouces qui est, selon moi, peu adapté. Pourtant, Apple m’a impressionné avec cet iPad Mini 7,9 pouces ! C’est un vrai bijou, une réussite, même si on aurait pu s’attendre à une machine encore meilleure.

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Commençons par le design est les finitions : l’iPad Mini est magnifique, très certainement la plus belle tablette à ce jour ! Qu’il soit noir ou blanc, c’est une réussite ! Sa façade laquée et le dos en alu brossé est élégant, classieux. Si l’on veut une belle tablette, le choix est incontestablement en direction de l’iPad Mini.

Concernant la prise en main, c’est également parfait. On peut sans problème tenir la tablette d’une seule main et écrire avec l’autre main. En plus, avec ses 308 grammes seulement, l’iPad Mini est d’une légèreté ! L’appareil pèse deux fois moins que sa grande sœur au format 10 pouces. En plus, l’iPad Mini est doté d’une technologie nouvelle qui permet à l’écran de reconnaître le fait qu’un pouce le tient, et donc de ne déclencher aucune action, pas de faux clic lorsque vous le tenez d’une main avec le pouce qui déborde sur l’écran.

Au niveau de la fluidité, je n’ai constaté aucuns ralentissements. Le processeur A5, pourtant déjà ancien, concurrence largement les processeurs actuels, même certains quadruple cœur de dernière génération. Cependant, il n’est pas certain que le processeur soit encore au niveau dans 2/3 ans. J’aurai donc préféré un processeur plus récent. Du A6 (ou A6X dans l’idéal) aurait été parfait, dommage (il va falloir attendre l’iPad Mini 2).

Apple

Concernant l’écran, ce n’est pas du Retina. Apple souhaite visiblement conservé cette technologie pour l’iPad Mini 2 qui sortira en fin d’année prochaine. Du coup, c’est parfois troublant pour la lecture de contenu texte quand on est habitué au Retina. Cependant, il faut relativiser, la résolution de 1 024 x 768 pixels à 163 pixels par pouce est largement suffisante pour une utilisation optimisée sur ce type d’appareil.

Pour la photo et la vidéo, c’est parfait, identique à ce que fait l’iPad 4. Vous avez un capteur en façade en HD 720p, 1,2 Mpx pour les autoportraits et les appels vidéo FaceTime, l’autre au dos de la machine pour des photos et vidéos de meilleure qualité, en HD 1080p, 5 Mpx. On est loin des performances médiocres de l’iPad 2 ! Par contre, pas de mode HDR, ni la fonction Panorama, c’est dommage. Là aussi, ces fonctionnalités devraient apparaitre l’année prochaine avec l’iPad Mini 2. De toute façon, de bonnes applications téléchargeables sur l’App Store permettent d’avoir quand même ces modes sur l’appareil.

Côté applis, toutes les applications disponibles sur l’App Store sont compatibles avec l’iPad Mini, soit actuellement 275.000 apps. C’est un des points forts par rapport à la concurrence. En plus, vous avez Siri, le logiciel de reconnaissance vocal, intégré nativement dans l’appareil.

Au sujet de l’autonomie, l’iPad Mini tient la route avec ses 10 heures en utilisation (on peut même aller jusqu’à 12 heures dans les premiers mois avec une batterie neuve).

Enfin, concernant les points négatifs, on regrette l’absence du NFC et l’arrivée de la nouvelle prise Lightning qui semble plutôt fragile. Et j’insiste, mais la présence d’un écran Retina aurait vraiment été génial.

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Le bilan : l’iPad Mini est un bijou, la tablette phare en 7 pouces ! Le design, la qualité de finition, la taille, le poids, la fluidité, l’autonomie et les fonctionnalités possibles font mouche : elle a tout d’une grande ! En revanche, on regrette l’absence de certaines caractéristiques qui tendent à vouloir attendre une version 2 qui permettra d’avoir un processeur plus puissant et surtout un écran Retina.

Note : 8/10

N°1 : iPad avec écran Retina (iPad 4), la meilleure tablette pour 2013 !

L’iPad 4 est un iPad 3 optimisé. Peu de composants sont modifiés, mais les évolutions ne sont quand même pas négligeables. On pourrait finalement parler d’iPad 3S plutôt que d’ipad 4, ce qui explique qu’Apple ne souhaite plus chiffrer les versions de ses tablettes. Cela en fait de loin la meilleure tablette tant elle brille par sa puissance, son élégance et ses fonctionnalités.

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La coque en aluminium est devenue une valeur sûre en matière de design. L’écran Retina de 9,7 pouces à technologie IPS avec une définition de 2048 x 1536 pixels fait la différence : c’est net, joli, coloré, difficile de revenir en arrière lorsque l’on utilise cette tablette. Les couleurs et contrastes sont très fidèles et la grande densité de pixels en font de loin l’afficheur le plus efficace du marché des tablettes. Précisions que la densité de pixels est de 263 ppp, une vraie merveille !

Sa prise en main est optimisée par le format 4:3, en particulier pour la lecture de contenus textes.

Côté processeur, la puce A5X de l’iPad 3 est remplacée par une puce A6X qui, selon Apple double, les performances de son aînée. Dans les faits, ce n’est pas évident de voir une telle différence. Ce qui est sûr est que le processeur booste considérablement la tablette tant elle est rapide et forte de fluidité. Les lancements d’applications sont plus rapides, le passage d’une appli à l’autre génère moins de latence.

Pour la photo et vidéo, l’iPad 4 possède un capteur de 5 mégapixels avec captation vidéo 1080p et une webcam de 1,3 mégapixel qui permet d’utiliser FaceTime en HD.

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L’autonomie est de 10 heures en utilisation pour une charge complète de 3 heures.

Le point négatif : le port lightning a l’air fragile. Je me demande comment l’iPad 4, qui pèse quand même près de 630 grammes, pourra tenir sur un accessoire comme une station d’accueil.

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Le bilan : l’iPad 4 est enfin la tablette rêvée, celle qui est à la fois puissante, esthétique, précise et suffisamment fonctionnelle pour en faire un incontournable ! Il va être difficile de faire mieux. Pour ceux qui envisagent d’attendre un éventuel iPad 5 courant 2013, sachez qu’il n’y aura certainement pas de grosses modifications, si ce n’est dans le design qui se rapprochera de celui de l’iPad Mini et dans l’arrivée de la 4G compatible avec le réseau français.

Note : 10/10

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Written by Alexandre Rocourt
Spécialisé en management de la communication et des médias, passionné par le web et les nouvelles technologies.